Les réseaux sociaux, ennemis de la productivité

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Que les réseaux sociaux soient utilisés au travail n’a rien d’étonnant. Qui d’entre-nous n’a jamais vu un collègue passer quelques minutes furtivement sur un réseau social tel que Twitter ou Facebook, bravant parfois certaines interdictions ? Ce dont on ne se rend pas vraiment compte, ce sont les conséquences que cela engendre, en particulier du point de vue de l’inactivité au travail. Aucune étude sérieuse (je dis bien « sérieuse ») ne semblait révéler une perte financière jusqu’à présent, mais c’est désormais chose faite. The Telegraph vient et effet de révéler une étude sur l’utilisation des réseaux sociaux au travail, dont les conclusions font froid dans le dos. Je vous laisse ainsi découvrir certaines de ces données :

  • Les réseaux sociaux coûteraient 1,38 milliards de pounds (2,25 milliards de dollars) à la Grande-Bretagne
  • Plus de la moitié des employés de bureau vont sur des réseaux sociaux
  • Ces employés passent en moyenne 40 minutes par semaine sur ces réseaux sociaux
  • Lorsqu’on leur demande ce que font leurs collègues, ils expliquent qu’ils passent plus d’une heure par jour sur les réseaux sociaux (oh ?)
  • 75% d’entre eux déclarent ne pas avoir eu de conseil de la part de leur employeur concernant l’utilisation de Twitter
  • Un tiers d’entre eux déclare avoir déjà lu sur internet des informations liées à la peur des entreprises vis-à-vis de cette baisse de productivité

Ce n’est donc plus une supposition, c’est un fait. Les réseaux sociaux engendrent un manque à gagner qui se compte en milliards de dollars dans le monde. Le plus ennuyeux dans cette histoire est probablement que mis à part le blocage des réseaux sociaux par les compagnies, ce phénomène devrait encore prendre de l’ampleur des prochains mois et les prochaines années, au fur et à mesure que les réseaux sociaux gagneront du terrain dans les mœurs des actifs. Reste maintenant à trouver une solution, j’entends prendre des décisions au sein des entreprises, pour regagner une productivité optimale avec une stratégie « plus dans l’ère du temps », plus à même de satisfaire à la fois les employés et l’entreprise elle-même sans engendrer un manque à gagner colossal.



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Accéder à la source sur The Telegraph
  • Le truc c’est qu’en effet, les gens accèdent à ces réseaux partout maintenant via leur téléphone portable. Et restreindre l’accès au bureau serait presque considéré comme une atteinte à la liberté d’expression et de culture (en exagérant à peine).

    Je vais réfléchir à ce sujet passionnant et si j’arrive à faire quelque chose de pas mal, je rédigerais un article :)

  • Le truc c’est qu’en effet, les gens accèdent à ces réseaux partout maintenant via leur téléphone portable. Et restreindre l’accès au bureau serait presque considéré comme une atteinte à la liberté d’expression et de culture (en exagérant à peine).

    Je vais réfléchir à ce sujet passionnant et si j’arrive à faire quelque chose de pas mal, je rédigerais un article :)

  • JJ

    Il y a une phrase dans la plupart des synthèses de cette « étude » qui me laisse perplexe… « En terme de productivité, cela représente un coût de 1,5 milliards d’euros pour les entreprises. Soit une semaine de travail par employé et par an. »
    Mouais. A la liste des verbes d’action qu’on pourrait envisager en conséquence, destinés aux décideurs dans l’entreprise, j’ajouterais alors « ne pas tirer trop vite sur l’ambulance ». Ou encore : « calculer mieux ». Oui les chiffres disent n’importe quoi selon le sens dans lequel on les interprète, et ce ne sont que des chiffres : la carte n’est pas le territoire, n’est-ce pas…
    Je suis sceptique parce que je pense que l’humain au travail ne fait jamais rien de manière anodine. Les réseaux sociaux, ou autre chose, signent un besoin, visiblement ils le remplissent et l’effet réel sur la productivité d’une entreprise ou d’une industrie à plus grande échelle est beaucoup plus subtil qu’un « manque de productivité ». Pour moi cette affirmation un peu niaise de « manque de productivité » revient à considérer que la sieste au boulot est aussi un ou plusieurs milliards de manque à gagner pour la grande structure. Or il n’en est rien. Ce sont des humains qui travaillent, pas des horloges. J’enfonce une porte ouverte si j’affirme qu’un humain rassasié de sa sieste est un travailleur plus heureux qu’un autre harrassé par le timing : et donc forcément productif… à son heure.
    Si les réseaux sociaux et ce que les gens partagent à travers ça les rend heureux, sans les juger, je trouve ça bien : ça revient peu ou prou à appeler sa femme de temps en temps dans la journée, se curer les ongles devant son écran, se repoudrer le nez toutes les heures ou bien suivre le dernier score du match de tennis de l’année.

  • JJ

    Il y a une phrase dans la plupart des synthèses de cette « étude » qui me laisse perplexe… « En terme de productivité, cela représente un coût de 1,5 milliards d’euros pour les entreprises. Soit une semaine de travail par employé et par an. »
    Mouais. A la liste des verbes d’action qu’on pourrait envisager en conséquence, destinés aux décideurs dans l’entreprise, j’ajouterais alors « ne pas tirer trop vite sur l’ambulance ». Ou encore : « calculer mieux ». Oui les chiffres disent n’importe quoi selon le sens dans lequel on les interprète, et ce ne sont que des chiffres : la carte n’est pas le territoire, n’est-ce pas…
    Je suis sceptique parce que je pense que l’humain au travail ne fait jamais rien de manière anodine. Les réseaux sociaux, ou autre chose, signent un besoin, visiblement ils le remplissent et l’effet réel sur la productivité d’une entreprise ou d’une industrie à plus grande échelle est beaucoup plus subtil qu’un « manque de productivité ». Pour moi cette affirmation un peu niaise de « manque de productivité » revient à considérer que la sieste au boulot est aussi un ou plusieurs milliards de manque à gagner pour la grande structure. Or il n’en est rien. Ce sont des humains qui travaillent, pas des horloges. J’enfonce une porte ouverte si j’affirme qu’un humain rassasié de sa sieste est un travailleur plus heureux qu’un autre harrassé par le timing : et donc forcément productif… à son heure.
    Si les réseaux sociaux et ce que les gens partagent à travers ça les rend heureux, sans les juger, je trouve ça bien : ça revient peu ou prou à appeler sa femme de temps en temps dans la journée, se curer les ongles devant son écran, se repoudrer le nez toutes les heures ou bien suivre le dernier score du match de tennis de l’année.

  • JJ

    Il y a une phrase dans la plupart des synthèses de cette « étude » qui me laisse perplexe… « En terme de productivité, cela représente un coût de 1,5 milliards d'euros pour les entreprises. Soit une semaine de travail par employé et par an. »
    Mouais. A la liste des verbes d'action qu'on pourrait envisager en conséquence, destinés aux décideurs dans l'entreprise, j'ajouterais alors « ne pas tirer trop vite sur l'ambulance ». Ou encore : « calculer mieux ». Oui les chiffres disent n'importe quoi selon le sens dans lequel on les interprète, et ce ne sont que des chiffres : la carte n'est pas le territoire, n'est-ce pas…
    Je suis sceptique parce que je pense que l'humain au travail ne fait jamais rien de manière anodine. Les réseaux sociaux, ou autre chose, signent un besoin, visiblement ils le remplissent et l'effet réel sur la productivité d'une entreprise ou d'une industrie à plus grande échelle est beaucoup plus subtil qu'un « manque de productivité ». Pour moi cette affirmation un peu niaise de « manque de productivité » revient à considérer que la sieste au boulot est aussi un ou plusieurs milliards de manque à gagner pour la grande structure. Or il n'en est rien. Ce sont des humains qui travaillent, pas des horloges. J'enfonce une porte ouverte si j'affirme qu'un humain rassasié de sa sieste est un travailleur plus heureux qu'un autre harrassé par le timing : et donc forcément productif… à son heure.
    Si les réseaux sociaux et ce que les gens partagent à travers ça les rend heureux, sans les juger, je trouve ça bien : ça revient peu ou prou à appeler sa femme de temps en temps dans la journée, se curer les ongles devant son écran, se repoudrer le nez toutes les heures ou bien suivre le dernier score du match de tennis de l'année.

  • JJ

    Il y a une phrase dans la plupart des synthèses de cette « étude » qui me laisse perplexe… « En terme de productivité, cela représente un coût de 1,5 milliards d'euros pour les entreprises. Soit une semaine de travail par employé et par an. »
    Mouais. A la liste des verbes d'action qu'on pourrait envisager en conséquence, destinés aux décideurs dans l'entreprise, j'ajouterais alors « ne pas tirer trop vite sur l'ambulance ». Ou encore : « calculer mieux ». Oui les chiffres disent n'importe quoi selon le sens dans lequel on les interprète, et ce ne sont que des chiffres : la carte n'est pas le territoire, n'est-ce pas…
    Je suis sceptique parce que je pense que l'humain au travail ne fait jamais rien de manière anodine. Les réseaux sociaux, ou autre chose, signent un besoin, visiblement ils le remplissent et l'effet réel sur la productivité d'une entreprise ou d'une industrie à plus grande échelle est beaucoup plus subtil qu'un « manque de productivité ». Pour moi cette affirmation un peu niaise de « manque de productivité » revient à considérer que la sieste au boulot est aussi un ou plusieurs milliards de manque à gagner pour la grande structure. Or il n'en est rien. Ce sont des humains qui travaillent, pas des horloges. J'enfonce une porte ouverte si j'affirme qu'un humain rassasié de sa sieste est un travailleur plus heureux qu'un autre harrassé par le timing : et donc forcément productif… à son heure.
    Si les réseaux sociaux et ce que les gens partagent à travers ça les rend heureux, sans les juger, je trouve ça bien : ça revient peu ou prou à appeler sa femme de temps en temps dans la journée, se curer les ongles devant son écran, se repoudrer le nez toutes les heures ou bien suivre le dernier score du match de tennis de l'année.

  • stéphanie

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